Pourquoi parler de désert ?
La Basse-Meuse et la Valle du Geer, Ville à la campagne et chapelets de petits Villages fonctionnent sur le modèle Rurale loin du fonctionnement ouvert et moderne, accueillante et tolérante des Villes. Dans ces espaces périphériques (banlieue, périurbain, campagne) et des populations plus traditionnelles ou moins favorisées, on observe plus hostilité envers les gays, qu’il s’agisse d’ailleurs des banlieues homophobes ou des campagnes réactionnaires…
Dans ce contexte, les plus jeunes semblent être ceux qui regrettent le plus l’absence d’une offre de lieux gays plus importante et qui soulignent le plus souvent la difficulté de faire des rencontres ou de trouver de l’aide.
D’ailleurs, dans sa thèse, « La vie homosexuelle à l’écart de la visibilité urbaine »,un chercheur , Colin Giraud parle de cette gêne que peuvent ressentir les personnes LGBTQIA qui ont grandi en milieu rural. Une gêne à s’exposer, à montrer des signes d’affections, à s’afficher aussi.
Face à cette absence d’offre d’aide à la communauté LGBTQIA+, on peut alors parler de désert gay.
Pourquoi L’Oasis ?
Et bien dans ce désert Gay, Ou désert LGBT, tu auras peut-être besoin d’une oasis où tu pourras faire halte sans peur du jugement pour parler, t’ouvrir ou poser tes questions.
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